Le mot de Jean Sanitas

Carte 17.018

Journaliste depuis une soixantaine d’années
(détenteur de la carte professionnelle
17.018), je crois de mon devoir de rappeler
à mes concitoyens qu’il ne saurait y avoir de
libertés sans la liberté de la presse. En ce
moment où, précisément, la presse écrite et
audio-visuelle est en train de passer aux
mains des oligarchies capitalistes et du pouvoir
sarkozyste à leur entière dévotion, il est
nécessaire de souligner l’importance qu’a,
dans la défense de la démocratie - jour après
jour mise à mal à leur profit par les oligarchies
et le pouvoir en question -, un journal
comme « Intervention Communiste », journal
édité et diffusé par des communistes
marxistes-léninistes, résolument anticapitalistes
et farouchement opposés à tout pouvoir
personnel.

Ami lecteurs, il vous faut donc considérer
« Intervention Communiste » comme une
arme essentielle dans le combat contre l’oppression
de l’argent-roi et son dévoué serviteur
« Sarko 1er ». Cela suppose que vous
contribuiez à sa diffusion en faisant s’abonner
une ou plusieurs de vos relations. Transposant
l’affirmation de Lénine considérant
qu’un communiste sans son journal est un
soldat sans son fusil, je dirais qu’un citoyen
mal informé est un citoyen que l’on peut
duper. Que l’on dupe, évidemment. Bien
informé - ce sera le cas en étant un lecteur
de « Intervention Communiste » -, il deviendra
un soldat non seulement dans la défense
des libertés, aujourd’hui transformées en
peau de chagrin, mais aussi un combattant
pour que demain triomphe le socialisme, le
peuple ayant pris en main sa destinée.

La vérité est révolutionnaire. Ce journal est
porteur de vérités. Vérités sur l’ignominie
du régime capitaliste, vérités sur la monstruosité
du sarkozysme. Vérités sur l’enrichissement
des riches et l’appauvrissement
des pauvres. Vérités sur la réalité des luttes
populaires et de leur répression par les instruments
dont dispose une république dévoyée.
« Intervention Communiste », c’est le journal
des révolutionnaires communistes de
France. C’est tout dire.

Jean SANITAS