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IC disait…

septembre 2010

Depuis la création de l’URCF, en
2004, notre journal Intervention
communiste a poursuivi son chemin,
sur la voie de l’éclairage
marxiste-léniniste des principaux
faits sociaux, économiques et
politiques de l’actualité. Nous
publions ci-dessous quelques extraits,
entre janvier 2005 et décembre
2008, qui prouvent que
cet éclairage a souvent débouché
sur une anticipation fiable
des faits à venir.

Sur l’Union européenne

N° 64 (janvier 2005) :

Le référendum sur le
projet de constitution
européenne présente
un enjeu de classe fondamental
 : les monopoles
veulent liquider
toutes les conquêtes
sociales obtenues par
les luttes de classe.

N° 67 (juin 2005) -
Après la victoire du NON au référendum sur le
TCE - :

Plus que jamais, la lutte continue ! Nos
adversaires ne vont pas désarmer ; ils ne se résigneront
pas à leur défaite.

N° 88 (octobre 2008) - Après la victoire du NON
irlandais au référendum sur le Traité de Lisbonne
-  :

L’UE ne peut survivre sans violation constante
des souverainetés populaires. Elle est au service
exclusif des intérêts d’une minorité, l’oligarchie
financière, et elle aggrave les conditions de vie de
l’immense majorité des forces du travail. Le NON
irlandais, pas plus que les précédents, ne sera respecté…

Sur Sarkozy

N° 68 (août 2005) :

Droite extrême ou
extrême droite ? Au
sein du gouvernement
Villepin, Sarkozy
semble jouer la
partition de la répression
tous azimuts, de
l’autoritarisme, non
sans évoquer un
bouffon précédent : Mussolini… Sarkozy est l’instrument
des monopoles pro américains les plus
réactionnaires, ceux qui veulent instaurer un régime
fascisant dont le sabre et le goupillon communautariste
seraient les armes.

N° 71(février 2006) :

Les monopoles, pour assurer
leurs surprofits, fixent à leurs États de nouveaux
axes stratégiques : (…) aggraver le pillage et la
subordination des peuples et pérenniser la dictature
des monopoles par une fascisation des institutions.

N° 77 (décembre 2006) :

Le projet de Sarkozy est
une déclaration de guerre contre les jeunes et les
immigrés ; il s’inscrit dans la subordination de la
France à l’impérialisme US, en continuant la désindustrialisation
et en criminalisant toutes les
résistances.

N° 78 (février 2007) - campagne présidentielle - :

La lutte démocratique exige l’abolition du présidentialisme
monarchique !

N° 80 (juin 2007) - après la victoire de Sarkozy - :

Sarkozy au pouvoir, c’est la guerre sociale contre
le monde du travail ! Et le renforcement d’une
société toujours plus inégalitaire, d’exclusion et de
ségrégation de classe dont rêve le capital financier.

N° 83 (décembre 2007) :

Le sarkozysme : tout
changer pour régresser !

Sur la crise capitaliste

N° 69 (octobre 2005) :

Les monopoles s’enrichissent
de l’affaiblissement continu du pays. La
France, comme l’ensemble des autres États impérialistes,
est enfoncée dans une crise structurelle
du capitalisme. […] La crise n’est pas synonyme
de difficultés pour tous, et la polarisation sociale
s’amplifie, car les monopoles accroissent leurs
profits sur le dos des travailleurs. […] Le caractère
« rentier, tondeur de coupons » (Lénine) du capitalisme
français se manifeste avec éclat.

N° 82 (octobre 2007) :

Le capitalisme, pour conjurer
la crise et assurer le maximum de profits, ramène
les conditions de vie et de travail aux formes
barbares des origines de ce mode de production.

N° 83 (décembre 2007) - Strauss-Kahn à la tête du
FMI – :

DSK, comme un autre, dictera les politiques
drastiques du FMI, celles de l’impérialisme,
pour tous les peuples.

N° 85 (mars 2008) :

Le système bancaire mondial
tout entier participe au cancer financier qui touche
tous les peuples et aggrave la contradiction entre
les besoins et les milliards investis dans la spéculation
(1500 milliards par jour). […] La crise financière
du capital : le krach boursier menace
d’exploser à tout moment. […] L’économie française,
contrairement aux propos lénifiants de Mme
Lagarde, commence à sentir les effets de la récession.
[…] Cette crise est loin d’être terminée.

Sur les retraites

N° 87 (août
2008) :

Aujourd’hui,
le
nouveau plan
gouvernemental
continue de
détruire ce qui
reste de nos
retraites : La
barrière des 60
ans saute totalement,
et on
se dirige vers
41 ans de cotisation.

[…] Pour une majorité de retraités, l’objectif
du Capital, déjà annoncé pour 2020, est que le
niveau des pensions ne dépasse pas 50 % du dernier
salaire. Nouvelle preuve de l’inhumanité d’un
système qui brise les vies des travailleurs après les
avoir exploités et privés d’emploi.